Pe drumurile patriei. Verzi si uscate

Iasi - Bucuresti. Anost traseu. Nu stiu care e faza cu avionul din camp.

Circul tot la Bucuresti merge, cred. Destinatie fireasca, dealtfel.


Ceva arde la capitala. Ulterior aflu: chinezarii en-gros. Si eu, care speram...

La Campulung ajung sa ma purific de praful sudului. Verdeata si ploaie.


Scorusi infloriti vegheaza vechiul cartier al Stadionului.



La Sihastrie incepe sezonul: irisi, margarete.


Primele bunatati: capsuni aromate de Satu-Mare si trandafiri de dulceata.




O pensiune noua la intrarea in Campulung: Villa roma. Merita vizitata.





O biserica noua, superba si delicat ornamentata, in Capu-Satului, chiar cum pornesti urcusul spre Rarau.




Nunta la Motca. Haoleu, ca fara limuzina nu sa poate!

Si tot asa...

Despre Google, o sintagma inocenta si eternul stupid feminin

Nu e necesar sa detaliez. Print screenul de mai sus e suficient de clar.
Iata intrebarile fundamentale care le macina pe romancele internaute.
Totul se reduce in capsoarele lor la un singur issue - REPRODUCEREA. Cu toate fazele aferente: cum sa fiu slaba si cu tzatze mari, cum sa prestez, cum sa ma pregatesc sa trantesc un copil.

Sa-i mai acuze cineva pe barbati ca-s obsedati, misogini etc...

l'enfer c'est les autres, on dit....

Par hazard ou pas, j'ai rencontre aujourd'hui un petit fragment de Sartre, un commentaire vis-a-vis de son ouvrage, Huis clos.
A mon petit avis, les mots puissent parfois guerir, surtout quand on les rencontre dans le bon instant.

Tout comme la citation ci-dessous:

"Mais il y avait à ce moment-là des soucis plus généraux et j'ai voulu exprimer autre chose dans la pièce que, simplement, ce que l'occasion me donnait. J'ai voulu dire « l'enfer c'est les autres ». Mais « l'enfer c'est les autres » a été toujours mal compris. On a cru que je voulais dire par là que nos rapports avec les autres étaient toujours empoisonnés, que c'était toujours des rapports infernaux. Or, c'est tout autre chose que je veux dire. Je veux dire que si les rapports avec autrui sont tordus, viciés, alors l'autre ne peut être que l'enfer. Pourquoi ? Parce que les autres sont, au fond, ce qu'il y a de plus important en nous-mêmes, pour notre propre connaissance de nous-mêmes. Quand nous pensons sur nous, quand nous essayons de nous connaître, au fond nous usons des connaissances que les autres ont déjà sur nous, nous nous jugeons avec les moyens que les autres ont, nous ont donné, de nous juger. Quoi que je dise sur moi, toujours le jugement d'autrui entre dedans. Quoi que je sente de moi, le jugement d'autrui entre dedans. Ce qui veut dire que, si mes rapports sont mauvais, je me mets dans la totale dépendance d'autrui et alors, en effet, je suis en enfer. Et il existe une quantité de gens dans le monde qui sont en enfer parce qu ils dépendent trop du jugement d'autrui. Mais cela ne veut nullement dire qu'on ne puisse avoir d'autres rapports avec les autres, ça marque simplement l'importance capitale de tous les autres pour chacun de nous."

Et je me dis qu'il faut l'admettre: on ne sacrifie jamais assez pour sa liberte... et on s'attache bien a ses chaines... Et alors, pour quoi tant des pleurs???

Cu Honda Civic pe drumurile Bucovinei

A inceput totul intr-o joi seara: astepta linistita, emanand miros de tapiserie noua si aruncand ocheade albastrii.

Desi e inca in perioada de rodaj, toarce ca un motan chiar si numai in 3000 de turatii.
Honda Civic Sedan, o masina generoasa, cu care te imprietenesti rapid.


Am scos-o sa se dezmorteasca prin Bucovina, unde in mai ploua cu galeata, verdele crud te nauceste si e plin de meri infloriti, malini si papadii.
O veste excelenta pentru iubitorii vechiului tinut al manastirilor e faptul ca drumul a fost in sfarsit terminat si se circula foarte bine, chiar si intre Humor si Campulung.